Vous souvenez-vous de la fougère dévonienne ?
En mai, nous l’avons suivie pendant des jours et des jours. Par rapport à ses consœurs de diverses sortes (j’ai de nombreuses espèces de fougères, mon grand terrain pouvant être classé comme milieu humide), on aurait dit qu’elle n’arrivait pas à naître, emberlificotée à l’extrême. C’était vraiment à se demander si elle y viendrait enfin. Lire la suite