Tout ce qui reste du groseillier de Joséphine après la tempête d’avant-hier
Mais nous sommes maintenant le 1er mars.
En mai, il sera là bien vivant et dégagé de cette enveloppe qui le fait disparaître.
1 Mar
Mais nous sommes maintenant le 1er mars.
En mai, il sera là bien vivant et dégagé de cette enveloppe qui le fait disparaître.
Étant incapable d’accéder à sa source maintenant très enneigée, je lui propose un plat d’eau, à l’avant ou à l’arrière.
Parfois, il boit ; parfois, il ne boit pas.
Que vienne le printemps !
Les nuits froides y sont sans doute pour quelque chose.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, il a fait moins 23.
Plus svelte que le mâle, il s’agit de la femelle Pic chevelu.
Elle est la seule de tous les oiseaux à se rendre à cette mangeoire. Lire la suite
Un adage français veut qu’à la Chandeleur [le 2 février], la neige est à sa hauteur.
Or, les paysans venus de France ont apporté ce propos, que beaucoup continuent de reprendre. Lire la suite
Un mets nouveau pour eux.
Et ils sont bien occupés. Lire la suite
Malheureusement, l’image est floue. L’oiseau ne s’est pas attardé. Lire la suite
Et elle s’enfuit, bien sûr, fort heureuse. Lire la suite
Tout d’abord, à ma grande surprise, un premier se présente le 10 janvier. Il se nourrit d’abord du chardon au sol au pied des mangeoires. Puis il joint les Bruants hudsoniens et les Juncos ardoisés qui trouvent çà et là des graines au sol. Lire la suite
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