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Articles de la catégorie ‘La tendresse’

Je voulais vous remercier avant que l’année ne se termine

Vous qui vous êtes procuré cet ouvrage et dont je ne cesse de recevoir de touchantes appréciations. Nous avons proposé, mon éditeur et moi, une production nouvelle à plus d’un point de vue et qui est fort bien reçue. Lire la suite

Tendresse

Tendresse, alors que tout vire au jaune

On ne s’arrête jamais aux couleurs. Mais celle-ci est gamine. Elle se cachait.

Elle a laissé le vert s’exprimer fort longtemps, elle n’a pas réagi à l’apparition du rouge. À vrai dire, elle savait, elle savait que son heure viendrait, où chaque autre couleur serait incapable de résister, lui laissant à la fin toute la place, avant que l’arbre la largue pour prendre soin de lui-même par les jours qui maintenant raccourcissent et les temps froids qui s’annoncent.

Rêvons. Je vous explique

En France, beaucoup vivent avec une sorte d’image idyllique portée depuis plusieurs générations, un peu comme nous au Québec pour la veillée du bon vieux temps.

Le peintre français Antoine Watteau (1684-1721) aimait beaucoup s’attarder à peindre des fêtes galantes, très belles, qui se passaient en forêt, avec des musiciens, et la présence d’enfants. Lire la suite

Il faut avoir les verts à l’œil

Nous avons encore une dizaine de jours de tant de tendresse. Ils s’approfondiront par la suite pour filer jusqu’à l’automne avec leur couleur qui ne bougera plus.

Dans l’histoire du costume au Québec, il y aurait un long texte à écrire sur les chapeaux que portaient les dames québécoises en 1900

Au théâtre, on se plaint que leurs grands chapeaux empêchent les autres de bien voir la scène. Pour la sauvegarde des oiseaux, on mène campagne contre la présence de plumes sur leurs chapeaux. Ici, deux amies qui ne se sont pas vues depuis longtemps portent le Merry widow, un chapeau à larges, très larges bords. Brève histoire d’une soudaine rencontre. Lire la suite

Un jour, un quidam du nom de Théophile Dufour décide d’un hommage à l’enfant

Charles Emmanuel Talbot et son chien

Pourquoi ne pas confier ce texte au journal qu’il lit ?

J’ai vu quelquefois dans les champs le jeune enfant auprès du laboureur — fraîche fleur à côté d’un blé mûr ; l’enfant suit à petits pas le pénible sillon ; il s’arrête un moment. Lire la suite

Les histoires de perroquet fourmillent

En voici une nouvelle. Nous sommes à Philadelphie.

Quatre voleurs qui dévalisaient une maison près de la ligne du chemin de fer, à Philadelphie, ont été vendus par le caquetage d’un perroquet, et ont failli perdre la vie. Lire la suite

Vieillir doucement, et bientôt partir

Au printemps 2017, au Salon international du livre de Québec, j’ai eu la chance de rencontrer le grand écrivain tunisien Moncef Ghachem. Lire la suite

Parfois, consultant des guides d’identification d’oiseaux, on reste surpris

Recourant, par exemple, à la seconde partie de son Ornithologie du Canada (1861), on découvre qu’entre la Fauvette du Cap May et le Viréo à front jaune, James Macpherson LeMoine a glissé un texte sur Madame de Tracy.

Il s’agit de l’Anglaise Sarah Newton (1789-1850), épouse en premières noces du général Letort, aide de camp de Napoléon tué à Charleroi en 1815, puis en secondes noces de Victor Destutt de Tracy. LeMoine écrit : Lire la suite