Skip to content

Résultats de recherche pour '"Robertine Barry'

Une femme laide est-elle moins heureuse qu’une belle femme ?

Lise Roy

Vous savez comme j’aime Françoise, de son vrai nom Robertine Barry (1863-1910), la première femme journaliste québécoise, originaire de L’Isle-Verte. Ses écrits, fort variés, abondent sur ce site. Durant les années 1890, elle tient une chronique hebdomadaire dans le quotidien montréalais La Patrie. Ses propos sont toujours tellement sensés. On constate aujourd’hui qu’ils vieillissent fort bien. Lire la suite

Le bonheur d’une ballade à la campagne, septembre venu

filantversplessisvilleEt, dans sa chronique du lundi, la journaliste Françoise [Robertine Barry (1863-1910)] choisit de nous amener dans les Cantons de l’Est. Lire la suite

Pourquoi pas la campagne !

groupe a la campagneJ’aime l’écrivaine Robertine Barry (1863-1910), première femme journaliste québécoise, grande amie du jeune poète Émile Nelligan, dit-on. Lire la suite

Le printemps selon Françoise

fillette nourissant les volaillesUn jour, il nous faudra bien une longue réflexion sur le printemps québécois reposant sur une anthologie. Lire la suite

L’automne en octobre, selon Françoise

automneRobertine Barry (1863-1910), la première femme journaliste québécoise, originaire de L’Isle-Verte, écrivait sous le pseudonyme de Françoise. On dit qu’elle fut l’amie du poète Émile Nelligan. Lire la suite

À nouveau d’étranges phénomènes

Il est rare que Françoise (Robertine Barry), la chroniqueuse du lundi, la première femme journaliste québécoise, se lance dans des étrangetés. Dans La Patrie du 12 juin 1893, elle s’y attaque. Lire la suite

Quand même !

Dans sa «Chronique du lundi» (La Patrie, 28 mars 1892), Robertine Barry, la première femme journaliste québécoise, est franchement insultée. Et elle a bien raison. Lire la suite

Les itinérants

Aujourd’hui, on les dit itinérants, sans-abri, sans-domicile-fixe. C’est selon. Il y a plus d’une centaine d’années, on parlait de miséreux. Lire la suite

Le plaisir des bals de carnaval

La chroniqueuse Françoise [Robertine Barry] trouve que les carnavals sont toujours trop vite passés et elle prend plaisir ici à participer au bal… pour observer. La Patrie lui donne la parole le 13 février 1893. Lire la suite

L’épithète caressante

Avez-vous un amour ? Oui ! comment l’appelez-vous alors ? Par son prénom ou quelque petit nom affectueux ? Dans La Patrie, Françoise (Robertine Barry) consacre sa chronique du lundi 16 janvier 1893 à ce sujet. Extraits. Lire la suite