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Articles de la catégorie ‘Vie domestique’

Mais qu’est-ce donc ?

Bien étrange machine que celle-ci décrite par L’Étoile du Nord du 25 octobre 1888. Peut-être s’exclame-t-on trop vite ? Lire la suite

Pour bien dormir

Finie l’insomnie ! Voilà tout ce qu’il faut savoir pour que vous dormiez comme un ange, selon L’Étoile du Nord de Joliette du 6 octobre 1887. Lire la suite

Contribution à une histoire québécoise de l’ours

Un jour, quelqu’un nous donnera une histoire de l’ours au Québec. Quels étaient nos agissements à son égard ? Que signifiait-il pour nous ? Comment le représentait-on ? Qu’en disait-on ? Et encore. Lire la suite

Le bonheur du téléphone

Au milieu du 19e siècle, voici le télégraphe, la première étape de la communication à distance après le tapis de boucane. Lire la suite

Prendre soin de nos filles

L’hebdomadaire d’Arthabaska, L’Écho des Bois-Francs, du 17 octobre 1896, y va de ses conseils. Lire la suite

Mais qu’est-ce donc qu‘un mauvais livre ?

Et que sont ces livres qu’on vendait dans les trains au Québec ? L’Écho des Bois-Francs, un hebdomadaire d’Arthasbaka, raconte, le 27 octobre 1894, cette nouvelle provenant de la capitale. Lire la suite

Une horloge fort étonnante

L’hebdomadaire maskoutain La Tribune, du 21 octobre 1892, nous entretient d’une horloge hors de l’ordinaire fabriquée en Allemagne. Lire la suite

Il ne faut pas n’importe quoi sur les murs du salon

L’écrivain Louis Fréchette a touché à toutes les formes d’écriture pour gagner sa vie. C’est bien là la seule manière de vivre de sa plume au Québec. Pendant un temps, dans le Canada artistique, il traita, par exemple, de décoration. Le voici dans une charge contre l’ordinaire mis au mur. Lire la suite

Des traces, des traces

À chaque fois que vous touchez, vous laissez des traces. C’est là votre signature. À la fin du 19e siècle, on commence à penser que ces traces pourraient aussi servir contre vous. Lire la suite

Le ras-le-bol des sollicitations (2/2)

Qui connaît Alphonse Lusignan ? À peu près personne. Et pourtant il avait une plume du tonnerre. Aujourd’hui, il n’y a plus de journalisme québécois à la manière de ce que faisaient Lusignan et Arthur Buies. Lire la suite