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Articles de la catégorie ‘Ça se passait en 1900’

Trois-Rivières choyée par des « rayons lumineux »

Dimanche soir, le ciel semblait tout en mouvement.

Le firmament était sillonné de longs rayons lumineux. L’effet était magnifique. Lire la suite

Un renard sur la terrasse à Québec

Plusieurs ouvriers de la compagnie de lumière électrique qui travaillaient, hier, sur la terrasse, ont aperçu tout à coup un renard de belle taille, auquel ils ont appuyé une chasse vigoureuse.

 Traqué de tous les bords, l’animal n’a pu prendre la fuite et a été capturé par un nommé Noël. Lire la suite

Certaines années, il ne faut pas se surprendre de la neige au début d’octobre

À Québec en 1885.

La première neige de la saison, en cette ville, est tombée ce matin, mais disparut immédiatement.

 La Presse (Montréal), 7 octobre 1885. Lire la suite

Le remède contre la variole

En 1885, au moment de l’épidémie de variole à Montréal, la population de la région de Québec, non touchée, croit que la Sarracénie pourpre est le meilleur moyen de se prémunir contre cette maladie. Lire la suite

Parfois il nous tombe du ciel des formes étonnantes

Voici un objet de la grosseur d’une grange, dit-on. Lire la suite

Expédition au lac Mistassini

L’article fait la une du quotidien montréalais La Presse. La nouvelle parvient d’Ottawa. Lire la suite

Pas déjà la neige !

Lundi dernier [le 30 septembre], il a neigé en quelques endroits dans les paroisses en bas du fleuve.

 La Tribune (Saint-Hyacinthe), 4 octobre 1895.

« Pauvre Québec ! »

Étrange constat soudain sur Québec sans guère d’explications.

Québec est une ville de progrès ! Tout y dépérit, même le vice. Lire la suite

La nouvelle provient de Waterloo, dans les Cantons de l’Est

La sécheresse se continue toujours.

Depuis plusieurs jours, l’atmosphère est imprégnée de fumée, et l’on ne voit presque plus le soleil le jour ni la lune la nuit. Lire la suite

Il y a cent ans et plus, lors des élections, il fallait compter avec des « télégraphes »

On appelait ainsi ceux qui s’étaient vu remettre un faux bulletin au nom d’une personne qui n’était pas en mesure de voter. Était « télégraphe » aussi celui qui votait sous le nom de quelqu’un d’autre.

Nous sommes en septembre 1888. Des élections se tiennent dans le comté de Montréal-Est. La journée est à peine commencée que « l’alarme est donnée ». Plusieurs télégraphes ont réussi à voter pour des morts ou des absents. Lire la suite