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Le remède contre la variole

En 1885, au moment de l’épidémie de variole à Montréal, la population de la région de Québec, non touchée, croit que la Sarracénie pourpre est le meilleur moyen de se prémunir contre cette maladie.

Une grande quantité de la plante appelée Sarracenia purpurea qui est considérée comme un antidote de la variole a été offerte sur les marchés de la ville [de Québec].

Il s’en est vendu autant qu’il en a été emporté.

 

La Presse (Montréal), 6 octobre 1885.

La photographie de la Sarracénie pourpre provient de la page Wikipédia qui lui est consacrée.

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