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Articles de la catégorie ‘Littérature, lecture’

Du poète, critique littéraire et romancier suisse Charles Fuster (1866-1929)

Si l’amour prenait racine…

 Ah ! si l’amour prenait racine,

J’en planterais dans mon jardin Lire la suite

Les malheurs de Margot

Cette dame est chroniqueuse au Canada. De son vrai nom : Marguerite de Montigny. Mais il arrive certains jours que, chroniqueure, on se demande sur quel sujet chroniquer.

Écrire. Pour rire

Pareille à la mule rétive que rien ne peut faire avancer malgré elle, ma plume en ce moment se refuse d’écrire ! Lire la suite

Parmi les poètes disparues…

Il y a Alice Lemieux-Lévesque (1905-1983). Nous y allions de deux de ses poèmes en janvier dernier, après un premier en avril 2016.

Et voici : Lire la suite

En cette journée, pourquoi pas un grand ?

Un immense. Paco Ibanez.

Voir la page du site interactif de Fred Hidalgo qui lui est consacrée.

La photographie provient de ce site d’Hidalgo, Si ça vous chante.

Échappé dans le quotidien montréalais Le Canada

Un poème de l’écrivain Edmond Rostand. Lire la suite

En 1900, les journaux québécois, quotidiens ou hebdos, échappent souvent de petits poèmes

Et cela, sans prévenir.

À l’occasion, ces textes sont franchement pompiers.

D’autres fois, on se retrouve absolument étonnés. Lire la suite

Les bouts de papier de Georges Perros

Le poète et écrivain français Georges Perros (1923-1978) ne voulait rien échapper, avait la manie des bouts de papier. Tout lui était bon, dit-il : bouts de papier justement, tickets de métro, boîtes d’allumettes, pages de livre… Ces mots échappés feront d’ailleurs l’objet de sa première publication, en 1960.

Voyez quelques avancées. Lire la suite

« Quand vous voyez »

Pernette de Guillet (1520-1545) à son amour. Lire la suite

« Septembre »

La gerbe est dans la grange ; au loin les champs sont verts ;

L’herbe vive recroît en dérobant le chaume Lire la suite

L’historien Benjamin Sulte raconte l’hiver québécois aux Français de France (second de trois billets)

Retour à ce texte d’abord publié à Paris dans la Revue du Monde latin. Nous voilà bien en hiver, Sulte a lancé le propos. Et il est heureux, il se fait vendeur.

À mesure que la neige tombe, la circulation des voitures la plombe sur les routes. Elle forme une couche ferme, où les traîneaux courent avec une facilité incroyable. Dans les champs, elle reste molle. Lire la suite