Revoilà l’ère dévonienne, cette fois-ci sur ma galerie arrière !
Plus de 240 millions d’années.
À la fin de cette ère de la préhistoire, notre grand-père, si longtemps poisson à travers ses ancêtres, sortait de l’eau, au péril de sa vie. La folle aventure était à haut risque.
Nous le savons, car nous en avons des fossiles de ces temps d’hier. Nous avons aussi retrouvé des fossiles de cette libellule magnifique, sorte d’attirail volant, d’une grande habileté, dont les ancêtres remontaient à ce temps.
J’aime savoir qu’elle est la cousine de ma fougère dévonienne, ma somptueuse.
Arrivera-ton un jour à établir un cahier de notes de tous ces vivants que nous côtoyons maintenant et qui témoignent encore mieux que nous de ces millions d’années lointaines ?
Comment les préserver, vivants, pour la suite ?
Et qui nous dira le secret de toutes ces choses ?