Dans le monde du second degré…
il arrive qu’on voit décoller des avions dans le cœur des marguerites.
P. S. Un rappel. Je ne trafique pas d’images. Ce monde ailleurs, tout à fait hors du bruit, de l’information en continu, les propose. Simplement, il faut être disponible.
2 commentaires
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Quelle photo, mon cher Jean!!!! Vous devriez l’envoyez à un concours!
Oui, il faut être disponible…
Si l’on vous doit tant, c’est parce que vous êtes encore disponible, avec l’oeil vif, et le regard profond .
Merci!!!
Merci, chère Melinda, merci beaucoup !
C’est vrai, les propositions sont là, offertes, parfois le temps d’un bien court moment, et il ne s’agit que d’être disponible.
Et la Vie continue. Si nous ne sommes pas là, ça ne la prive en rien. Elle file, y allant bientôt de d’autres offrandes.
La Vie chante. Même sans nous.
Dans notre quête, notre grande recherche de planètes dans l’Univers, nous ne cessons d’espérer des lieux où le Sapiens serait présent. Mais il en est sûrement déjà des luxuriants, de véritables « Paradis terrestre » où la Vie est arrivée à se développer, à se complexifier de manière étonnante, sans aucun besoin de la présence de Sapiens. Pourquoi espérer sans arrêt que le Sapiens soit nécessaire dans le développement de la Vie ? Celle-ci n’a pas besoin de nous.