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Articles de la catégorie ‘Portes, synanthropie, éthologie’

J’ai apporté hier seulement un peu de pain, car le pain n’est plus populaire à ce temps-ci

Après une heure, j’entends crier cette corneille au sommet d’un grand arbre. Je regarde dans cette direction et je lui dis « Viens, viens ! ». Je vais prendre place sur le bord de la galerie avant et elle s’amène manger du pain.

J’ai essayé le cri avec une autre corneille et cela la faisait fuir.

Celle-ci est probablement maintenant une vieille amie.

Je la trouve tellement sympathique ! On ne peut demander mieux.

Appuyé sur deux de mes doigts, le voici qu’il fouille, espérant trouver des graines de tournesol

Il ne me blesse pas, bien sûr.

Cet écureuil sait qu’au fond de ce seau, il y a du tournesol noir

Et il me connaît tellement et n’a aucune peur de moi qu’il est prêt à s’appuyer sur ma main pour poursuivre sa quête de tournesol.

Bien sûr, il n’a aucune agressivité.

L’oiseau intelligent

J’aime beaucoup sa présence. Il enrichit le lieu.

Et la voici, fort intelligente, ses yeux le disent

L’article de la revue française Epsiloon dont je parlais hier dit que les corbeaux et les corneilles ont de puissants cerveaux de 1, 5 milliard de neurones qui leur servent aussi « à entretenir une vie sociale riche et complexe, permettant de tisser des relations sur un vaste territoire, de diffuser une nouvelle technique, de rameuter la troupe vers une source de nourriture, de donner l’alerte sur d’éventuels dangers ».

S’il m’était donné de travailler à la domestication d’une corneille, ce serait avec celle-ci

Elle fait partie d’un duo migrateur qui revient depuis deux ou trois ans.

Celle qui l’accompagne est plus craintive et se tient loin. Elle la regarde agir et finalement s’approche.

Mais celle-ci est vraiment présente. Elle vient maintenant près de la maison, comme sur cette photographie. Lorsqu’elle crie à distance, je lui fais signe du bras droit que je fais tourner comme un moulin à vent, je lui parle, je lui montre un sac transparent contenant du pain. Mais je ne veux aller plus loin de peur de créer une dépendance, chez elle comme chez moi.

Il s’est vu dans des rangs d’autrefois, au Québec, des gens se rendant au village avec leur corneille sur l’épaule.

Et voilà les deux copines qui me crient

Elles réclament sans doute du pain.

Je les salue du bras droit que je laisse aller comme le mouvement d’un moulin à vent.

J’espère les joindre ainsi. Lire la suite

Tiens, la corneille a convaincu celle qui vit avec elle de l’accompagner manger du pain

Ce ne fut pas facile, car voilà un moment qu’elle refusait de s’approcher. Lire la suite

Et voici le Tarin des pins dans toute sa beauté

Un oiseau fort intelligent.

Sa vie est toujours surprenante. Lire la suite

Mon chat est disparu, mais me voilà avec un chien !

Ô surprise ! Qui l’aurait dit ???

Cette chienne, comme le chat, vient de vivre un grand bien-être.

Elle ne se possédait plus, était si heureuse. Lire la suite