Le 6 janvier est pour moi une date phare puisque c’est le jour anniversaire de ma mère qui m’a appris, tout jeune, les rudiments de la lecture et de l’arithmétique. Je ne puis l’oublier.
Avec raison. Nos mères furent bien importantes. La mienne est du 8 janvier. Ce sont des signes forts les capricornes.
La mienne m’a toujours rappelé le discours que nous avait tenu la religieuse de l’Immaculée-Conception, rue Bonaventure, à Trois-Rivières, à notre toute première journée de classe à six ans, en septembre 1949.
En revenant à la maison, j’étais absolument enchanté de répéter à ma mère qui s’informait de ma première journée de classe que cette religieuse nous avait dit qu’à la Noël nous serions capables d’écrire. Je ne pouvais être plus heureux devant une promesse semblable, car depuis l’âge de quatre ans, je rêvais d’écrire.
Et ma mère a conservé mon premier cahier de classe où je me lance dans l’écriture des lettres de l’alphabet. Dieu que ça semblait pénible au début à lire ces premières lettres ! J’ai encore ce cahier en main. Mais autant cette religieuse comme ma mère me répétaient que ça venait, que ça venait, que j’avais toutes les occasions de me réjouir. Je ne pouvais être plus heureux que d’entendre ce discours.
Le 6 janvier est pour moi une date phare puisque c’est le jour anniversaire de ma mère qui m’a appris, tout jeune, les rudiments de la lecture et de l’arithmétique. Je ne puis l’oublier.
Avec raison. Nos mères furent bien importantes. La mienne est du 8 janvier. Ce sont des signes forts les capricornes.
La mienne m’a toujours rappelé le discours que nous avait tenu la religieuse de l’Immaculée-Conception, rue Bonaventure, à Trois-Rivières, à notre toute première journée de classe à six ans, en septembre 1949.
En revenant à la maison, j’étais absolument enchanté de répéter à ma mère qui s’informait de ma première journée de classe que cette religieuse nous avait dit qu’à la Noël nous serions capables d’écrire. Je ne pouvais être plus heureux devant une promesse semblable, car depuis l’âge de quatre ans, je rêvais d’écrire.
Et ma mère a conservé mon premier cahier de classe où je me lance dans l’écriture des lettres de l’alphabet. Dieu que ça semblait pénible au début à lire ces premières lettres ! J’ai encore ce cahier en main. Mais autant cette religieuse comme ma mère me répétaient que ça venait, que ça venait, que j’avais toutes les occasions de me réjouir. Je ne pouvais être plus heureux que d’entendre ce discours.