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Archive pour

De « La Source grecque »

La grande Simone Weil, l’exigeante Simone Weil s’est beaucoup abreuvée à la Grèce antique.

Ouvrière en 1936, elle écrit à son patron, le directeur de l’usine :

Je me demandais avec inquiétude comment j’arriverais à prendre sur moi d’écrire en me soumettant à des limites imposées, car il s’agit évidemment de vous faire de la prose bien sage, autant que j’en suis capable… Lire la suite

Médard, cher Médard, venez à notre aide !

Quels tristes huit jours nous avons eus la semaine dernière !

De la pluie le matin, de la pluie dans la journée, de la pluie la nuit.

O grand saint Médard, qui avez la clef des écluses du ciel, de grâce épargnez-nous, fermez tout et laissez le soleil sécher la terre et mûrir les épis ! Lire la suite

Trois-Rivières est heureuse

Pour la première fois, jeudi soir [le 24 juillet], une partie de la ville a été éclairée à la lumière électrique.

Il y aura beaucoup à changer dans la distribution des lampes.

Pour un premier essai, le succès a été assez satisfaisant.

 

Le Trifluvien (Trois-Rivières), 26 juillet 1890.

Bilan de vie à Sainte-Anastasie pour le présent été

La Vanesse de Virginie et son visage magnifique

Ce qui apparaît être des records.

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Toujours la Paruline à flancs marron ?

Mais cette fois-ci au ventre jaune ? Voilà un mystère encore plus grand.

Mon ami Paul est bien perplexe. Lire la suite

Une soirée d’été dans un club nautique

À Laprairie.

Le bal masqué de samedi soir au club nautique de Laprairie a été couronné d’un succès sans précédent. Une foule d’étrangers, parés des costumes les plus sélects et de meilleur goût, y ont pris part.
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Une histoire bien étonnante à Saint-Adolphe d’Howard

Pendant 30 ans, Honoré Paquette a vécu dans la forêt, ne disant jamais un mot à personne, sauf pour acheter ce qu’il lui était nécessaire. Lire la suite

Qui nous dire qu’est-ce que ce « Nez Galleux » ?

Une nouvelle du quotidien Le Canada, édition du 18 juillet 1903.

Chose certaine, il semble qu’il s’agisse d’une carpe.

Mon ami pouffe de rire lorsque je lui dis que nous vivons un fort bel été

Peut-être est-ce parce qu’il est banlieusard ?

Voyez simplement une partie de la production de mon Groseillier à maquereau.

La luxuriance. Lire la suite

Bourdon butinant dans le Géranium des prés

Cette fleur, apportée ici un jour par mon amie Christiane, prospère depuis ce temps, elle aussi fort heureuse du lieu.

Mon ami Pierre, le botaniste, m’a précisé le nom.