Mon cher ami Jean-Luc sur ses grandes routes d’Europe m’écrit
Un de plus pour ta collection (si tu la fais toujours)
Épouvantail à cormorans au « Pays des 1000 étangs » autour de la petite ville de Tirschenreuth (Bavière, Allemagne).
À très bientôt !
Bien sûr, cher Jean-Luc, que je suis preneur. Ici, les épouvantails, les vrais et non ceux qui cherchent à l’être, auront toujours leur place. Complices sommes-nous.
Mais, cette année, de ce côté-ci du monde, le printemps fut tellement pluvieux que l’heure n’était pas aux potagers. Aussi les épouvantails sont beaucoup absents.
La terre n’est guère malléable, les artisans ne sont pas sortables et les bonhommes dorment quelque part dans quelque vieux bâtiments.
Merci, cher ami.
Très honoré, Cher Jean. Grâce à ta collection, l’épouvantail est devenu un peu le cameo d’Hitchcock de mes voyages.
Dieu que tu me fais plaisir, cher Jean-Luc ! Merci, merci.