Les trois fiers et bien mis
Nobles aussi.
Au cœur du monde.
Archive pour
10 Jan
Dans la série «Les cartables des temps d’hier» (4)
Héraclite l’Obscur
Nous voilà dans la réflexion d’un philosophe grec d’il y a près de 2 600 ans. L’homme s’est beaucoup amusé à déstabiliser, invitant ainsi à la marche en avant.
Le temps est un enfant qui pousse des pions : royauté d’un enfant.
Si toutes choses devenaient fumée, on les discernerait avec les narines.
Les chercheurs d’or remuent beaucoup de terre et trouve peu d’or. Lire la suite
Les 10 janvier colorés le long du Saint-Laurent, 1885-1905
Arrêt sur ce jour de l’année.
À Québec d’abord. Hier la matinée, le temps a été très doux et le ciel gris. Tout indiquait de la pluie et, en effet, à deux heures de l’après-midi, elle a commencé à tomber mêlée de grêle et de neige. Le Canadien (Quebec), 10 janvier 1885. Lire la suite
Les mots fulgurants de Neruda à son amour
En 1949, l’écrivain chilien Pablo Neruda tombe follement amoureux d’une soprano mexicaine Mathilde Urrutia. En dix ans, il lui écrit une centaine de poèmes. Tellement pressants qu’on dirait l’auteur à court de mots parfois. L’ouvrage paraît en 1959. Voici la dédicace qu’il adresse à celle qui est l’incarnation même du bonheur. Lire la suite
Heureux de deux dindons
Depuis quelques années, le Dindon sauvage est de plus en plus présent au sud-ouest de Québec. Je n’ose le dire à voix haute, car certains se livrent à la petite chasse dans mon coin. Lire la suite
9 Jan
L’intelligence de l’âne
Un moment de réflexion pour le troisième et hop !
9 Jan
Retour sur le sujet des bouteilles à la mer
J’ai beaucoup aimé de plusieurs d’entre vous l’accueil d’il y a quelques heures, le 7 janvier, faite au billet sur le sujet des bouteilles à la mer. Clément Laberge a lancé la discussion (voir son commentaire au bas de ce billet du 7), nous a mis sur la piste des travaux de Benoît Melançon, et le feu a pris. Lire la suite
Encore une croisière du Pilot sur le Saint-Laurent, plutôt qu’une simple traversée Québec-Lévis !
Le Pilot
Pas facile, en hiver, d’être capitaine d’un traversier dont les moteurs sont faiblards. Et les grands vents n’aident pas.
Le pont de glace est pris tout juste en amont de Trois-Rivières, à l’entrée du lac Saint-Pierre
Mais le traversier poursuit son travail entre le cœur de la ville et Sainte-Angèle-de-Laval, en face. Nous sommes, bien sûr, sur le Saint-Laurent. En 1910. Lire la suite
