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Articles de la catégorie ‘Littérature, lecture’

«Déclaration»

ombre bavardeJ’ai vu sous les baisers de la brise automnale

Se couler lentement votre corps gracieux

Vos yeux semblaient ravis, et sur votre front pâle,

Flottaient épais vos longs cheveux. Lire la suite

L’automne en octobre, selon Françoise

automneRobertine Barry (1863-1910), la première femme journaliste québécoise, originaire de L’Isle-Verte, écrivait sous le pseudonyme de Françoise. On dit qu’elle fut l’amie du poète Émile Nelligan. Lire la suite

Décès de l’écrivain russe Ivan Tourgueniev

yvan tourguenievJe suis heureux de savoir que le départ de ce grand auteur ne soit pas passé inaperçu dans la presse québécoise de l’époque, du moins dans le quotidien montréalais La Patrie. Tourgueniev décède le 3 septembre 1883 à Bougival en France, à l’ouest de Paris, entre Saint-Germain-en-Laye et Versailles. Lire la suite

En voilà un qui parle aux feuilles !

feuille porteeL’autre jour, j’errais dans une avenue, mes regards rêveurs s’arrêtèrent sur des feuilles rougies au froid et au soleil d’automne. Lire la suite

Souvenir, souvenir. Qui n’a pas fait de «scrap-book» ?

scrap bookChose certaine, selon La Tribune (Saint-Hyacinthe) du 31 octobre 1890, le «scrap-book» semble en vogue à la fin du 19e siècle. Lire la suite

Petits poèmes d’automne

moment precis de lautomne

Deux textes apparaissent dans la section «Poésie» de l’hebdo maskoutain La Tribune du 10 octobre 1890 : un premier de François Coppée (1842-1908) et l’autre anonyme. Lire la suite

Le calembour

affiche de grun sur le calembourQui imaginerait aujourd’hui dans un quotidien québécois un article soudain consacré à ce trait de l’esprit qu’est le calembour ? Voilà bien ce qu’on trouve dans La Patrie (Montréal) du 5 octobre 1881, un texte repêché du journal français Figaro. Lire la suite

Ce feu automnal

feuilles rouges automneHenry David Thoreau, que j’aime beaucoup, déplore que les auteurs de langue anglaise ne célèbrent guère les couleurs de l’automne. Lire la suite

Le Gant

mille amitiesJe viens de le retrouver dans un fouillis de lettres, de fleurs séchées et de bouts de rubans, le petit gant noir, mignon et parfumé, que je vous avais dérobé un soir d’automne.

Je l’ai retrouvé au fond d’un tiroir ouvert par méprise et où je ne vais jamais, vu que j’y ai entassé tout ce qui me vient de vous, et que je vous ai chassée pour toujours de mon souvenir. Lire la suite

Une visite du Mount Auburn Cemetery

cimetiere mount auburn bostonDites, aimez-vous les cimetières ? Moi, tout à fait. Si on a su au fil des ans en prendre soin, ils sont de magnifiques lieux de paix. Lire la suite