On entend d’ici la joie des gens des champs
La nouvelle provenant de Québec et datée du 25 septembre 1888 est publiée deux jours plus tard dans Le Nord de Saint-Jérôme. Lire la suite
21 Sep
La nouvelle provenant de Québec et datée du 25 septembre 1888 est publiée deux jours plus tard dans Le Nord de Saint-Jérôme. Lire la suite
Le Franco-Canadien (Saint-Jean-d’Iberville) rapporte cette nouvelle le 21 septembre 1894.
Il y a eu lundi [le 17], à Caughnawaga, une vraie noce sans époux. Un veuf et une veuve devaient contracter mariage ce jour-là. Les futurs époux étaient bien pauvres. On fit, comme c’est l’habitude chez les sauvages, une collecte pour payer les dépenses que nécessite toujours un mariage. Lire la suite
Et pourquoi pas ! Mais on se moque de la population de Saint-Jérôme en amour avec ses p’tits chevaux. Lire la suite
Le journaliste et écrivain Antoine Gérin-Lajoie (1824-1882) décède le 4 août 1882. Lire la suite
Annuellement, au cours de l’été, les groupes de marchands montréalais organisent une journée spéciale pour leurs employés. Hors de la ville, lorsqu’ils le peuvent. Lire la suite
Le quotidien montréalais La Patrie en rend compte le lendemain, 15 juillet 1904. Lire la suite
Malheureusement, j’ignore tout de cette image. Absolument rien n’apparaît au verso. Mais, manifestement, il s’agit bien d’un char de la Saint-Jean.
Demain, c’est la Saint-Jean. Le jeune Alfred Descarries (1885-1958), 18 ans, veut sonner la cloche. Montréalais, il envoie ce billet au quotidien La Patrie, qui le reproduit le 23 juin 1903. Lire la suite
Les Amérindiens de Caughnawaga [on dirait aujourd’hui les Mohawks de Kahnawake] au sud de Montréal, par un geste de courtoisie envers les Canadiens français, dit La Patrie du 29 juin 1903, ont fait de la Saint-Jean leur propre fête nationale. Lire la suite
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