Soir enneigé
Quelque part. Le confort. La douceur. La tendresse.
La paix.
De La Patrie (Montréal) du 16 février 1905. Lire la suite
Articles de la catégorie ‘La tendresse’
18 Fév
2 commentaires
1 Fév
«Comme un désir d’éternité qui repose en toute chose»
J’attrape Les états du relief d’Hélène Dorion. Un ouvrage épuisé, nous dit la page Wikipédia qui lui est consacrée. Chants d’amour. Je m’enlève du chemin. Lire la suite
30 Jan
Quelques mots échappés
Et puis, vous voulez que je vous dise ? Vous êtes tellement attachante ! Vous oscillez entre la tendresse et l’affirmation. Lire la suite
Dès le départ de ce site, je disais espérer un lieu de calme et de tendresse
J’échappais ces mots ici même.
Cette image dans La Patrie du 3 février 1905 y a tout à fait sa place.
Calme et tendresse.
Le jour de la Victoire à Québec
Mon ami Marc Doré, auteur de pièces de théâtre, d’essais et d’ouvrages de fiction, a publié l’an passé un récit, que je dirais ethnologique, ma foi. Peinture de ce temps de vivre.
Lui-même est au cœur du livre qui se déroule durant les années 1940 et 1950. Lire la suite
14 Jan
Le «Livre total»
Trois fois passera, la dernière, la dernière,
Trois fois passera, la dernière y restera. Lire la suite
Joyeux Noël !
J’espère pour Vous qu’il soit baigné de grande douceur et de tendresse.
L’illustration est la page 56 d’un livre incroyable de l’architecte Raymond Martineau, publié en 2004 aux Éditions MultiMondes et à la Société historique du Cap-Rouge, intitulé Mémoires d’enfance. Lire la suite
15 Déc
Le bonheur des enfants du primaire
Il faisait tempête, la première de la saison. La route était mauvaise. Quarante kilomètres sur l’autoroute. J’ai bien fait d’être parti tôt. Arrivé à 8 heures 30. Lire la suite
Que pensez-vous de Noël ?
Au début du 20e siècle, une publication assurément française demande à trois écrivains ce qu’ils pensent de Noël. Ils viennent de Limoges, de la Provence et de la Lorraine. Lire la suite
Le second campement autour d’un feu
Il m’arrive de croire que des contes québécois sont à la traîne, quelque part dans de vieux livres ou des journaux d’autrefois. Nous risquons de les perdre, car il n’y a jamais eu de recension. Et les auteurs, anonymes ou moins connus que Louis Fréchette et Honoré Beaugrand, peinent à vivre aujourd’hui dans la mémoire québécoise. Lire la suite
