P.S. J’ai une amie qui voilà bien longtemps a fait sa thèse de maîtrise sur l’étonnement. Je crois qu’elle aurait bien aimé causé un brin avec cet oiseau.
Moi aussi cet oiseau m’intrigue. L’été, au couchant du soleil, ils passent en trombe au dessus de la maison pour rejoindre, sans doute, un lieu de rassemblement pour la nuit. Les reflets de son cou me fascinent. Mais ma blonde le déteste, trop envahissant à son goût.
Je me demande en quelle discipline ton amie a fait cette thèse sur l’étonnement. Juste hier, j’ai lu ceci dans Fictions de J. L. Borges: » Les métaphysiciens de Tlön ne cherchent pas la vérité ni même la vraisemblance : ils cherchent l’étonnement. »
Salut Jean,
Moi aussi cet oiseau m’intrigue. L’été, au couchant du soleil, ils passent en trombe au dessus de la maison pour rejoindre, sans doute, un lieu de rassemblement pour la nuit. Les reflets de son cou me fascinent. Mais ma blonde le déteste, trop envahissant à son goût.
Je me demande en quelle discipline ton amie a fait cette thèse sur l’étonnement. Juste hier, j’ai lu ceci dans Fictions de J. L. Borges: » Les métaphysiciens de Tlön ne cherchent pas la vérité ni même la vraisemblance : ils cherchent l’étonnement. »
Hey bien, n’est-ce pas?
En fait, Louis, mon amie, dont la thèse de maîtrise a porté sur l’étonnement, étudiait en philosophie.