Le départ d’un battant, Marcel Junius (1925-2018)
Né à Verviers, en Belgique, architecte et urbaniste, il fait le choix du Québec dès son arrivée de ce côté-ci du monde en 1961. Fou de patrimoine et d’histoire, il fut cet éveilleur dont toute société a besoin.
Habitant Montcalm, le cœur de la ville de Québec, nous avons passé de longs moments, comme ça, sur la rue, à discuter autant de bons fromages que de l’allure que prenait la politique.
En 1982, lui, président de la Commission des biens culturels du Québec, et son vice-président Paul-Louis Martin, un ami et confrère de classe du primaire, ma foi, me confièrent un mandat fort intéressant, m’amenant à prendre la route pour préciser le patrimoine agricole et horticole au Québec. Le rapport fut publié par la Commission des biens culturels en 1984.
Salut, cher Marcel.
La photographie de Marcel Junius provient du site de l’Ordre national du Québec.
Bonjour M.Provencher,
Nous découvrons par un pur hasard votre billet sur notre père…quel hommage !
C’est avec plaisir que nous apprenons que vous avez été des collaborateurs.
Nous vous en remercions.
Les enfants Junius, Brigitte, Bruno et Bénédicte
C’est bien moi qui vous remercie ! Marcel et moi, nous prenions tellement plaisir à s’apercevoir soudain rue Cartier ou dans les Halles du Petit Quartier. Et, tout de suite, nous entreprenions une conversation sur mille et un sujets, et blaguant dans la joie sur mille et une choses. J’aimais beaucoup Marcel.
Je ne pourrai y être physiquement samedi, mais sachez que vraiment je vais bien fort penser à vous trois. Tenez bon, et je suis certain que c’est ce qu’il vous aurait dit.
Toutes mes sympathies à vous trois.
Merci, chère Bénédicte, de votre mot si gentil.