L’asclépiade et le Monarque
Tout juste en face de chez moi, en bordure de la route, le tondeur de fossés — ô merveille — n’a pas réussi à faucher les plants sauvages d’asclépiade, vitaux pour le sort du grand migrateur mexico-québécois, le Monarque. Ces derniers occupent donc avec succès la fêlure entre le fossé lui-même et le champ cultivé. Les voici.
Par bonheur, le quotidien montréalais Le Devoir fait sa une aujourd’hui avec un article de Jeanne Corriveau « La traque du papillon monarque »
Voyez cet article ainsi que l’encarté « L’essentielle asclépiade ».
Et pourquoi ne pas demander aux municipalités rurales québécoises de prévenir leur tondeur de fossé d’éviter la tonte de l’asclépiade ? C’est un plant qui se distingue facilement de tout le reste. Je vais aller voir la mienne.
Les boutons comestibles ont un goût de
brocoli…
La « soie d’Amérique » passe en production industrielle…
Fibre isolante pour les anoraks!
Belle journée à vous!
Bonne nouvelle.