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Qui est cette paruline qui aime manger les fleurs de pommier ?

Paruline jaune de première année à la couleur brunâtre ? Paruline obscure ou Paruline verdâtre ?

L’effet du soleil sur les feuilles et les fleurs du merisier.

Un Chardonneret jaune mâle s’est bien placé pour la photographie.

Le Tarin des pins est toujours présent.

Le Carouge à épaulettes.

Il n’aime guère que j’imite un ou deux de ses chants.

Le Bourdon fébrile (Bombus impatiens, Common Eastern bumblebee) butine dans les pissenlits.

Cette espèce généraliste visite une grande diversité de plantes à fleurs. On l’utilise commercialement pour la pollinisation en serre (tomates, poivrons) et pour la pollinisation des bleuetiers, des pommiers et des fraisiers.

Il niche dans le sol, généralement dans des terriers abandonnés par des rongeurs. Sous nos latitudes, cette espèce forme les plus grandes colonies, celles-ci pouvant atteindre plus de 500 individus.

Il ne pique pas, cher amis, ce n’est pas une guêpe.

Voir l’ouvrage de Joseph Moisan-De Serres, France Bourgouin et Marie-Odile Lebeau, Pollinisateurs et plantes mellifères, Guide d’identification et de gestion, Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ), 2014, p. 14.

Et un petit peu plus haut !

Il est fier qu’on parle de lui.

Il porte le nez en l’air.

Voici ce gamin — Pic chevelu mâle — qui signale sa venue à tout le monde à chaque fois qu’il s’approche.

Le raton laveur est encore là.

Il fuit, bien sûr, dès que je suis là. Mais il réapparaît après mon départ.