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Le magnifique Tarin des pins, y allant de la beauté de ses ailes, rarement aperçues.

Le 7 mai.

Enfin, le premier papillon qui s’arrête ! Depuis trois jours, l’un se promène, mais jamais ne se pose. Hier, ils étaient trois, de la même espèce.

Après un moment, je me suis mis debout sur la galerie avant et ai demandé à celui-ci qu’il se pose, le temps de permettre une photographie. Et le voici pendant quelques instants, la Piéride des crucifères, car il lui presse de repartir. Sans doute est-il heureux du beau temps printanier.

Savez-vous que certains papillons entendent ? Une chercheure de l’université Carleton, en Ontario, a creusé ce sujet. Voir ce billet.

Par ailleurs, ce papillon-ci, la Piéride des crucifères, est un indigène. Vous pouvez accéder à ce billet à son sujet. La Piéride du chou est arrivée d’Europe durant les années 1850. Depuis ce temps, elle occupe beaucoup de place. Mais la Piéride des crucifères a survécu.

Ah voilà le Lierre terrestre, une plante rampante qui propose la première fleur sauvage de l’année.

Et elle est très heureuse d’être tout près de la maison du côté ouest. Pour elle, c’est une forme d’aide. Et c’est elle qui a gagné l’endroit ; je n’y suis pour rien.

On l’a déjà appelée aussi herbe de saint-jean.

La première jonquille.

En voilà un des trois ou quatre arrivés du sud avec cette belle tête

Le Bruant à gorge blanche au pied de la galerie avant.

Cette année, ils sont arrivés trois ou quatre avec cette belle tête.

Et voici le carouge à sa manière d’obtenir du chardon ou des graines de tournesol noir.

Le Carouge à épaulettes se tient bien droit.

Très fier, dirait-on.