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Voici quatre pères de famille chez les Chardonnerets jaunes, cette année.

Ils auront le travail de s’occuper des jeunes de l’année. Ça relève d’eux, et non de la mère.

La fête chez l’Érable rouge !

Merveilleuses journées pour ces érables.

Le 3 mai.

Les Trilles dressées sortent un peu partout, près de la longue allée qui mène à la maison.

Elles s’empressent, car bientôt on les distinguera mal dans la verdure.

Les Pulmonaires en fleur.

Le discret Bruant familier.

Est-ce que le développement du lieu depuis 47 ans le met plus à l’aise ? Qui fait qu’il se joint maintenant aisément à toute la ribambelle d’oiseaux, allant même jusqu’à attraper des perchoirs pour manger comme les autres. Pendant longtemps, il ne se mêlait guère à la foule, laissant croire qu’il était absent. Ce gamin hiverne à partir du sud des États-Unis jusqu’au Nicaragua, selon Roger Tory Peterson (Les oiseaux de l’est de l’Amérique du Nord, Editions Broquet, 1989, p. 280).

Le Tarin des pins.

Il est d’un petit groupe des siens.

Les Juncos ardoisés sont encore une quinzaine dans le chardon au sol et les graines de tournesol.

Le Carouge à épaulettes.

Il avance délicatement dans le lot de graines tombées.

Des oiseaux très concentrés.

Un Tarin des pins et un Chardonneret jaune.