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Ô ! Surprise ! Un Morio tient bien serré une branche de framboisier sauvage dans les hémérocalles !

Il semble en être fort heureux !

Vraiment tout est vécu dans ce lieu !

Ce papillon est connu dans un grand nombre de pays sur la Terre.

À son sujet, voir ce billet.

Et les abreuvoirs à colibri sont maintenant en place depuis hier. Trois à l’arrière et un à l’avant.

Ils ne contiennent que de l’eau de mon puits de surface nourrie de sucre blanc.

Revoilà la Piéride des crucifères.

Elles sont au moins 4 ou 5 à aller çà et là sur le terrain.

Le 10 mai.

Je n’ai jamais vu autant de Bruants à gorge blanche devant la galerie avant, dans les hémérocalles ou autour.

Et je voulais enlever les framboisiers sauvages parsemés dans les hémérocalles. Mais je me rends compte que les oiseaux aiment bien s’en servir comme perchoirs.

Un Geai bleu qui semble songeur, ce qui est bien rare.

L’herbe pousse rapidement là où se trouvent le chardon et les graines de tournesol noir.

Et on a plus de mal à apercevoir les oiseaux au sol.

Dans la municipalité des fourmis.

En voyez-vous quelques-unes ? Elles sont infiniment petites.

Un Tarin des pins et un Chardonneret jaune.