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En voilà un des trois ou quatre arrivés du sud avec cette belle tête

Le Bruant à gorge blanche au pied de la galerie avant.

Cette année, ils sont arrivés trois ou quatre avec cette belle tête.

Et voici le carouge à sa manière d’obtenir du chardon ou des graines de tournesol noir.

Le Carouge à épaulettes se tient bien droit.

Très fier, dirait-on.

Voilà une corneille fort heureuse.

Que peut bien dire le tarin au chardonneret, qui lui apparaît comme un ange descendu du ciel ?

Le Bruant chanteur, longtemps appelé le rossignol au Québec.

Il sera là jusqu’en octobre.

Il y a encore au moins une dizaine de Juncos ardoisés ici.

L’endroit les intéresse.

Le Tamia rayé est propriétaire d’un terrier au sud-ouest de la maison. Or, il y a 4 ou 5 portes à son terrier.

Ici, à cause de l’épaisseur de neige, cet hiver, il ne retrouve pas une porte importante pour lui. Et il est convaincu qu’elle est cachée sous cet amas d’herbes séchées écrasées par la neige.

Et je suis certain qu’il a raison, car je l’ai maintes fois aperçu entrant ou sortant à cet endroit.

Et maintenant quatre Tarins des pins et un Chardonneret jaune !

Il me faut vous dire que j’aime beaucoup les tarins. Et je suis heureux de savoir qu’ils sont encore ici.