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Félix Leclerc, sur une tempête

Tempête : La forêt joue de l’orgue avec ses gros tuyaux ; les fils électriques, du fifre.

Il y a une voix d’homme qui se plaint dans la tôle de l’enseigne, des milliards de petits souffles qui courent à ras terre et, sur le toit d’en face, un lutin avec son petit fanal qui me fait des signaux.

 

Félix Leclerc, Le Calepin d’un flâneur, Montréal et Paris, Éditions Fides, 1961, p. 25.

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