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Archive pour

Barbus, fiers de votre système pileux, oubliez votre désir de travailler pour les compagnies de chemin de fer

Fini le travail à la broussaille ou à la barbichette. Lire la suite

Des nouvelles de l’humoriste et critique social américain Mark Twain

J’aime suivre Mark Twain lorsque la presse québécoise des temps d’hier en parle et j’échappe sur ce site interactif ce qu’on en dit.

Originaire du Connecticut, il représentait le grand air au nord-est de l’Amérique du Nord. Les gens d’ici aimaient savoir qu’il était là. Il nous manque d’ailleurs dans les temps d’aujourd’hui.

Cette nouvelle sur son épouse qui traîne de la patte fait la une du quotidien montréalais Le Canada, édition du 11 juin 1903. Lire la suite

Dans le monde du second degré…

il arrive qu’on voit décoller des avions dans le cœur des marguerites. Lire la suite

La sortie aventureuse du nid

Mon amie Nicole, naturaliste, est bien chanceuse. Vendredi, elle m’a fait part de cette histoire :

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À donner, ce personnage sympathique à lunettes

D’accord, il n’est pas encore domestiqué, il ne vous accompagnera pas au village à votre première sortie, vous rendant chez le boucher, mais voyez, il ne craint guère la bête humaine. Lire la suite

Le français québécois, et peut-être d’ailleurs en Amérique — ô bonheur — est encore persillé de mots qui remontent à très loin

Ces derniers sont liés souvent à la géographie d’un lieu. Ainsi, à Trois-Rivières, jamais nous ne pouvions entendre, apprendre donc, le mot « plée » un substantif féminin. Nous utilisions bien « savane » car il s’en trouvait une petite en bordure du Saint-Maurice au pied du coteau, où, enfants, nous allions aux quenouilles. Mais nous ne fréquentions pas de plées, inconnues pour nous. Lire la suite

Des Jaseurs des cèdres ont niché dans les environs

Un couple de petits est de passage. Lire la suite

Les premières fleurs du pimbina

Une offrande.

Un brin de réflexion sur le parfum de certaines fleurs

Je ne sais dans le cœur des villes ou dans les banlieues, mais, chez moi, à la campagne, nul arbre en fleur ne semble plus attrayant, plus « séduisant » pour les insectes que le lilas en fleur. Lire la suite

À 18 heures, l’heure est à l’omelette

Nous sommes à Montréal.

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