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Le Sphinx colibri, bien petit, se rendant au cœur de l’églantine

Comme les avions que nous avons inventés depuis, il est dans l’approche finale, sans doute heureux.

Bien avant nous, ses ancêtres, dans leurs courses aux fleurs, ont connu la joie des approches finales.

 

2 commentaires Publier un commentaire
  1. Hélène Gonthier #

    Il est agréable pour moi de considérer qu’une joie puisse aussi être l’apanage d’un colibri, d’un ruisseau et d’une abeille butineuse revenant à la ruche!!!

    26 juin 2017
  2. Jean Provencher #

    Voilà tellement longtemps, tellement, que nous croyons, de manière fort orgueilleuse, que la bête humaine (et quelques mammifères) a toujours été la seule à vivre des émotions. Or, depuis quelques années, des scientifiques de tous les continents, avec le moyen des toutes dernières machines, voient, de manière très précise, qu’un simple insecte, une plante, un arbre arrive, de manière tout à fait normale, [à reconnaître aussi que ce fut sans doute toujours là], à échanger avec des individus de la « société » à laquelle ils appartiennent et à voir qu’ils vivent ce que nous pourrions appeler des « contentements ».

    Nous sommes à la toute veille de constater avec bonheur que nous sommes des leurs.

    26 juin 2017

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