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Archive pour

Mon fils et les siens découvrant la Barbade

Sur une plantation, ils apprennent l’histoire de la mélasse, bien aimée au Québec lorsqu’elle se mit à rentrer à plein tonneaux en 1680 grâce au triangle commercial France-Antilles-Nouvelle-France. Lire la suite

L’attente patiente

Les médias rapportent que le printemps est déjà là, à Montréal, depuis deux semaines.

Des bêtes ont bien commencé à se promener sur la neige, mais le nord-est n’a pas encore suivi. Lire la suite

Le Carouge à épaulettes mâle arrivé le 22 est toujours là

Et toujours seul de son espèce.

Il ne me considère plus comme un importun. Même qu’il a fait connaissance avec le Geai bleu. Lire la suite

Demain soir, venez découvrir un monde

Celui de la Cour municipale. L’illustration des petites misères de la vie quotidienne dans la cité.

En bout de ligne : gérer le bien-vivre entre nous dans une ville.

Nous nous retrouvons au Palais Montcalm, salle d’Youville, à 19 heures 30. C’est gratuit. Il n’est pas trop tard pour réserver votre place. Lire la suite

Reminiscence

La partie de sucre

Voilà plus de 120 ans, au Québec, le printemps venu, qu’on organise des parties de sucre. La sève des érables à sucre coule à plein régime et, pendant quelques semaines, on produit du sirop et du sucre d’érable. Lire la suite

Dans les transports en commun ou ailleurs, il faut toujours se souvenir de ces bons comportements

Quand on veut faire arrêter une diligence ou un char urbain, on fait un signe de la main et on s’arrête au coin de la rue, la figure un peu tournée du côté où l’on veut aller. Lire la suite

De la nonne Enomoto Seifu (1732-1814)

Le papillon est vieux

Mais son âme sur les chrysanthèmes

Folâtre. Lire la suite

« La Plateforme »

À Québec, jusqu’à l’incendie du Château Saint-Louis en 1834, tous les gouverneurs, depuis Champlain, le lieutenant du Roi de France, s’étaient accaparé du plus beau paysage vu de la ville. Lire la suite

D’un recueil de réflexions d’une haute exigence, disait la critique

À la lecture de ces mots, je fus attiré comme le chat à l’odeur d’un nouvel aliment. Et ce livre est d’un écrivain et penseur suisse allemand Ludwig Hohl (1904-1980). Un ouvrage attachant si vous vous sentez en forme. J’en avais glissé mot, avec extrait, le 31 juillet 2014.

Il s’arrête cette fois-ci sur la création et la distance du regard. Réflexion sur le télescope de l’esprit, que nous possédons tous, mais qu’il n’est pas évident de pouvoir facilement mettre au foyer. Lire la suite