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Mon fils et les siens découvrant la Barbade

Sur une plantation, ils apprennent l’histoire de la mélasse, bien aimée au Québec lorsqu’elle se mit à rentrer à plein tonneaux en 1680 grâce au triangle commercial France-Antilles-Nouvelle-France.

On lui trouvera rapidement une place dans nos recettes. Jusqu’aux fèves au lard au 19e siècle qui nous arriveront de Boston, probablement apportées, comme le euchre, par les bûcherons québécois allant passer l’hiver dans les chantiers forestiers de la Nouvelle-Angleterre (1).

Et qui dit mélasse, dit rhum, bien sûr, liqueur des pays chauds.

Et les voici, visitant la maison du riche propriétaire de la plantation St. Nicholas Abbey.

Sous une cloche de verre, des oiseaux des 18e et 19e siècles naturalisés, dont la moitié, dit le guide, ne sont plus présents sur l’île.

Puis la salle à manger du proprio.

Et le « Sailor’s valentine », véritable pièce d’art, fabriquée par les habitants de l’île au 19e siècle et vendue aux marins de passage, un cadeau à rapporter à leur amour à l’autre bout du monde.

(1) Un jour, qui sait, quelqu’un habitant à la frontière nous offrira un article long sur les échanges culturels avec les États américains voisins. Sylvia, à Saint-Georges de Beauce, ça ne tenterait pas ?

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