Un peu de paranormal pour colorer votre vie, ça vous dirait ?
Ce soir donc, à 19 heures, nous nous retrouvons pour en parler.
À la bibliothèque Saint-André, Centre communautaire Charles-Auguste-Savard, 2155, boulevard Bastien, à Québec. J’y suis allé à plusieurs reprises pour des rencontres semblables, c’est un lieu fort agréable.
Pour adolescents et adultes. Coût d’entrée : Gratuit avec réservation suggérée, priorité aux abonnés. Déjà, me dit-on, en début d’après-midi dimanche, une vingtaine de personnes ont déjà réservé. Il reste donc une vingtaine de places de disponibles. Pour réservation : (418) 641-6790.
Mais on me dit qu’à cette bibliothèque, beaucoup de personnes ont l’habitude de se présenter sans avoir réservé. Donc, si nous sommes plus de 40, nous nous corderons.
Je n’arriverai pas comme un psy, n’ayant aucune compétence dans l’interprétation du paranormal, mais plutôt comme un historien. Nous causerons des couleurs que le paranormal québécois profane prenait entre 1880 et 1910, un monde nouveau en histoire, une des recherches que je mène. Des phénomènes étonnants. De bien présent déjà, il y avait le surnaturel de l’Église, le paranormal religieux, mais nous sentions le besoin de nous donner un paranormal profane.
Captivant sujet.
Une initiative du Conseil québécois du patrimoine vivant, en collaboration avec l’Institut canadien de Québec.
L’illustration est un extrait d’une carte marine des côtes de la mer du Nord depuis Calais, Bibliothèque nationale de France.