Veille des Oscars à Hollywood, il me presse de Vous dire de prendre le temps de lire cette lettre
Je connais Guy Thauvette, un homme fort chaleureux et simple qui nous est apparu d’abord dans Le Grand Cirque Ordinaire. Nous avons dîné un jour au resto asiatique Chez Kim, rue Saint-Vallier, dans le quartier Saint-Sauveur. Comédien de métier, il passait deux jours semaine à Québec, travaillant avec les prisonniers.
Ce matin, il écrit dans Le Devoir une lettre chaleureuse à la Fondation DiCaprio, une longue définition de ce que nous sommes nous, des bâtards d’Amérique, des chiens pas d’médaille, des métissés, qui nous battons et continuons à nous battre pour ce que nous sommes.
Il faut lire cette lettre importante, pleine d’amour et de fierté. Et beaucoup la diffuser.
Merci beaucoup, cher Guy, et à ta gang.
La photographie coiffe l’article du Devoir de ce matin.
Mon fils me renvoie à Roy Dupuis qui tient le même discours que Guy, mais moins «poétique».
Après lecture du Devoir de ce matin.
Je reste émue par cette longue réflexion de Guy Thauvette, ce valeureux et audacieux chevalier de l’espoir.
Merci de nous aimer assez pour nous défendre, pour nos nos enfants, les prochains défricheurs de vie.
À eux l’espoir d’être!
Nicole Racine-Lazure, TCF., Psychothérapeute
Le Neufchatel
110 rue du Château – 509
Gatineau, Qc J9A 1T4
Tel : 819 777 9906
Merci beaucoup, chère Madame Racine-Lazure !
Bonjour Jean,
À lire aussi l’article de Louis Hamelin, dans la même édition du Devoir, qui compare le roman de Michael Punke au film.