Archive pour
26 Mar
26 Mar
La Chouette rayée
Mon ami Gilles Matte était présent hier soir à cette rencontre de Saint-Augustin sur la vie populaire des années 1880-1910. Lire la suite
Raquettes et souliers sauvages
Quand les missionnaires français arrivent de France à compter de 1616, ils ne connaissent pas la raquette pour marcher sur la neige, non plus que le «soulier sauvage» qui l’accompagne. Lire la suite
26 Mar
Une heure trente sur la vie populaire
Ce fut une bien belle soirée à Saint-Augustin-de-Desmaures. À essayer, en particulier, de saisir le printemps par le collet pour vraiment reconnaître le moment précis où il arrive enfin. Mais peine perdue. Lire la suite
Vivement, gagnons Mont-Joli !
Apparence que les gens de Mont-Joli, aujourd’hui une communauté de plus de 6 500 habitants dans le Bas-du-Fleuve, sont très recevants, en particulier en hiver. Le correspondant du Progrès du Golfe du 2 mars 1906 le déclare bien franchement. Lire la suite
25 Mar
Branle-bas dans les signes astrologiques
Vous avez cru être Balance, vous êtes plutôt Vierge. Né à la fin de janvier, on vous disait Verseau, voilà que vous vous retrouvez Capricorne. C’est bien ce que nous annonce le journal Le Monde aujourd’hui. Lire la suite
25 Mar
Venez faire un tour, ce soir
J’ai une proposition pour vous. Ouvrir ensemble le printemps, puis filer vers l’été. Où ? À la salle Jobin de l’Hôtel de Ville de Saint-Augustin-de-Desmaures, 200, route de Fossambault. Comme le disent mes amis de la Société d’histoire de Saint-Augustin, ne ratez donc pas une agréable occasion d’entreprendre le printemps «du bon pied».
Nous échangerons sur les printemps et les étés d’autrefois. Avec un accent sur la vie en ville. Lire la suite
25 Mar
Vous vous apprêtez à entailler ?
Sous le titre Avis opportuns aux fabricants de sucre d’érable, voici de bons conseils du journal Le Progrès du Golfe, du 31 mars 1905. Lire la suite
Moments de vie à Rimouski, en avril 1906
Le printemps est langoureux et froid, nous avons encore les chemins d’hiver. Tout de même, ne nous plaignons pas, l’hiver a été si beau.
Le fleuve est complètement libre devant la ville. Lire la suite
L’histoire se passe dans les rangs derrière Arthabaska, dans les Bois-Francs
Y fait méchant, les enfants d’écoles des concessions vont avoir de la misère à se rendre.
L’Écho des Bois-Francs, 21 mars 1896.