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Archive pour

Le dernier jour de février, que dit-on ?

joueurs de dames

Simplement par curiosité, tournons les pages. Lire la suite

Une conférence sur La Colonie retrouvée

cartier roberval rapport synthese des fouilles

Hier, devant près d’une quarantaine de membres de l’Association des retraitées et retraités de l’éducation et autres services publics du Québec, secteur Cap-Diamant, j’avais le plaisir d’animer une rencontre sur cette grande expédition française commandée par le roi de France, François 1er. Lire la suite

À la défense des Québécois installés en Nouvelle-Angleterre

belle jeune dame souriante maine

Le Herald traite les Canadiens de Chinois parce qu’ils ont peu de besoins et qu’ils sont économes. Le rapprochement est flatteur pour les Chinois, et personne certes ne serait tenté de leur jeter la pierre s’il était vrai qu’ils ressemblassent aux Canadiens. La plaisanterie est trop mauvaise pour que ceux-ci en prennent ombrage. Lire la suite

Qu’attend-on pour enseigner l’histoire à nos enfants ?

histoire du canada 1534 1968Le Sorelois du 24 février 1880, à la une, prend le relais du Quotidien de Lévis et du Pionnier de Sherbrooke.

Sous ce titre, nous lisons dans le Quotidien de Lévis ce qui suit :

Notre intéressant confrère du Pionnier de Sherbrooke, dans un récent article, suggère une idée qui devra, sans doute, rencontrer l’approbation de toute la presse canadienne-française. Lire la suite

«La tuque et l’étoffe du pays»

bucheron henri julien fevrier 1902Voilà un texte fort étrange portant sur des pièces traditionnelles du vêtement québécois. On en vient à se demander où s’en va l’auteur de ces mots qui fait des liens tout à fait surprenants. La cherté des vêtements, par exemple, n’a jamais poussé les Québécois à émigrer aux États-Unis en grand nombre. Lire la suite

Et voilà ma grange-étable qui tire sa révérence

grange etable effondree unMalgré ses 94 ans, elle était toujours bien présente dans les images. Je n’étais pas sur les lieux lors de l’événement. Mais son grand cri de fracas devait sûrement être, pour une dernière fois, un hommage à la vie. Lire la suite

Une soirée de batailles de coqs

coq de joseph arthur bouchardL’hiver est la saison préférée pour les combats de coqs. Et les récits abondent dans les journaux québécois. Le Sorelois du 3 février 1880 rapporte une descente policière lors d’une de ces soirées. Lire la suite

Une bien bonne entente par temps froid

homme au chapeau haut de formeEntrefilet paru dans Le Sorelois du 8 février 1889 par un froid rigoureux. L’histoire se passe à Montréal.

Ce sont les manchonniers qui, à part les hôteliers, bien entendu, ont le plus bénéficié jusqu’à ce jour de l’affluence des Yankees à Montréal. À ce propos, on nous signale un spectacle curieux qui a été donné lundi après-midi aux habitués de la rue Saint-Jacques. Lire la suite

Faut-il être accueillant pour les immigrants ?

la halle de emigres a quebecÀ l’heure même où de grands groupes migrent sur terre, voyons ce qu’on pouvait écrire sur l’immigration au Québec voilà plus de 100 ans. Lire la suite

Les prix des fourrures au marché de Montréal en février 1897

mouffette unCastor du printemps :

3,75 $

Castor d’automne et d’hiver : 3,25$

Ours noir, grande pièce : 10$

Ours noir, petite pièce : 4$ Lire la suite