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Résultats de recherche pour '"Arthur Buies"'

Les grandes forêts d’Arthur Buies

En son temps, on a dit Buies écrivain, journaliste, littérateur, géographe, etc., mais l’homme n’aimait guère les étiquettes. Pour son gagne-pain, il écrit dans les journaux. Mais il se lance aussi à l’occasion dans des projets personnels. Ainsi publie-t-il L’Outaouais supérieur en 1889. Lire la suite

Arthur Buies traverse la vallée de la Matapédia

À l’automne 1872, ce cher Arthur Buies fait un voyage dans le golfe du Saint-Laurent sur le vapeur Secret. Lire la suite

Arthur Buies aux Éboulements (seconde partie)

Hier donc, le journaliste Arthur Buies arrivait par bateau aux Éboulements en provenance de La Malbaie, dans Charlevoix. Lire la suite

Arthur Buies aux Éboulements (première partie)

Le 20 octobre 1870, un très violent tremblement de terre est sévèrement ressenti dans les régions de Charlevoix et de la Côte-du-Sud. La secousse fait des dégâts matériels considérables. Lire la suite

Arthur Buies est mort

Bien oui, déjà, samedi, le 26 janvier 1901, le correspondant de La Patrie à Québec prévenait qu’il avait passé une si mauvaise nuit qu’on l’avait administré. Et il décède le soir du 26. Lire la suite

Quelles idées un homme que j’admire pouvait avoir de la mort et de l’immortalité de l’âme à 33 ans, il y a de cela 146 ans ?

Arthur Buies meurt à l’âge de 61 ans, à Québec, le 26 janvier 1901.

Quelques jours plus tard, le quotidien montréalais La Presse, pour lui rendre hommage, publie un long texte qu’il avait écrit à 33 ans. Lire la suite

Un écrivain épris de la part sauvage de la nature québécoise

Voilà deux semaines, je rencontrais chez un bouquiniste un jeune lecteur à la véritable recherche d’Arthur Buies (1840-1901). Il connaissait son journal satirique, La Lanterne, publié de septembre 1868 à mars 1869, mais il espérait quelque chose de plus consistant. Lire la suite

Une histoire étonnante

D’abord le jour même de Noël quand même ! La nouvelle provenant de New York est datée du 26 décembre. Lire la suite

Mais le poète, triste de voir s’envoler l’été, s’y fait

Âgé de 44 ans, il sait depuis un moment qu’après le temps libre estival, il faut se ré-atteler.

Allons ! nous voilà revenus à la ville, et, de nouveau, nous allons reprendre le bât sacré du travail, la tâche de chaque jour virilement accomplie.
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Décidément, notre poète trouve difficile la venue de l’automne 1884

Déjà, hier, il était tristounet, le voilà maintenant franchement nostalgique. D’abord, il s’adresse au fleuve. Lire la suite