Articles de la catégorie ‘Les marginaux’
17 Juil
Le pouls de la ville au début d’avril
Que peut donc retenir le journaliste d’un quotidien de Québec ?
On achève d’enlever la glissoire sur la Terrasse. Lire la suite
Les hivers sont difficiles pour le pauvre monde en ville
À la une de La Presse, édition du 15 février 1901. Lire la suite
Il y aurait une histoire à écrire sur les refuges de nuit à Montréal
Voici ce qui semble, dirait-on, un nouveau d’entre eux.
Cent deux malheureux sans asile ont béni le ciel hier soir, de rencontrer sur leur route le Refuge de Nuit. Lire la suite
25 Déc
Les mousses sont facilement satisfaites
Héritières des algues, elles sont les premières plantes terrestres à être sorties de l’océan, selon le naturaliste et entomologiste Vincent Albouy. Lire la suite
Voici le moment de « faire la crèche »
C’est là, dans toute une année, le grand bonheur des enfants. Ici, celui des enfants de ma bru et de mon fils.
La plus jeune fut responsable de la disposition des personnages dans la crèche. Et l’Enfant est vraiment bien préservé du froid ; à l’arrière, outre l’âne et le bœuf, on retrouve un mouton de bonne taille. Le mauvais temps n’aura pas de prises sur la famille abritée. Lire la suite
Un événement de financement pour les plus démunis de Québec
La Société St Vincent de Paul épuise tous les moyens de venir en aide aux pauvres de cette ville.
Naturellement, c’est à l’approche de la saison rigoureuse que sa tâche est la plus ardue.
Elle est à organiser pour mercredi prochain une soirée dramatique et musicale qui aura lieu à l’Académie de Musique [rue Saint-Denis, dans le Vieux-Québec]. Lire la suite
À Québec, les journalistes de langue française et anglaise n’apprécient guère que les dépourvus de la vie quêtent dans les rues
C’est pour eux un « spectacle disgracieux ».
15 Juin
À quand une histoire des Bohémiens au Québec ?
Voici que ceux-ci nous visitent à Québec en juin 1885. Lire la suite
» Un cas digne de pitié «
Nous apprenons que les autorités du séminaire ont signifié au malheureux aveugle, qui, depuis quinze ans, stationne dans leur porte cochère et vend des journaux, de se placer ailleurs, parce qu’elles ne peuvent permettre de commerce sur leur propriété.




