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Articles de la catégorie ‘Arbuste, arbre et forêt’

Qui veut utiliser la coulée printanière des érables dans une histoire du climat québécois doit être bien prudent

Certaines années, les érables sont généreux dans une paroisse donnée, mais très avares pour une communauté peu éloignée. Voyez le printemps de 1907. Lire la suite

Dans la série « Les inventions de la vie » (102bis)

Trois jours plus tard.

Par un grand vent d’ouest.

La création — le mariage d’une plume, de deux bourgeons d’un Cerisier à grappes et du vent — tient toujours. Lire la suite

« La plantation du mai sur la glace »

Les Français qui sont venus prendre racine le long du Saint-Laurent ont apporté une coutume de chez eux, la plantation du mai. Lire la suite

Pas facile la vie de plante

Francis Hallé est botaniste. Il fit rire de lui, par certains collègues, il y a quelque 20 ans, pour un livre qui démontrait que le temps était venu de secouer les puces de la botanique. Lire la suite

Hier se présentait vraiment comme la première journée du printemps

Tout concordait pour en faire le premier jour. Le temps doux, l’éclat du soleil, le premier oiseau printanier, les avions qui strient le ciel bleu, les bourgeons rouges de l’Érable rouge qui ont hâte de fleurir. Lire la suite

Il y a des années, à l’équinoxe printanier, où certains se réjouissent, d’autres non

Le temps qu’il fait rend le Québec divers. Prenons le 25 mars 1908. Lire la suite

La dernière neige, abondante et collante, vient de poudrer le milieu

 

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Voici le temps des sucres

Les sucres, de Henri Julien, La Patrie, 1er mars 1902

Encore quelques jours et l’on « entaillera » dans le sud de la province.

Puis, à mesure que les souffles attiédis envahiront le nord, toute la région des érablières suivra l’exemple. Partout ce sera le bon « temps des sucres ». Lire la suite

En 1907, le correspondant de La Patrie à Sainte-Anne-de-la-Pérade prévoit un gros printemps de sucre

Nous sommes à 49 kilomètres à l’est de Trois-Rivières en bordure du fleuve. Lire la suite

Savez-vous que Neandertal se guérissait avec de l’herbe à dindes ?

L’herbe à dindes, de son nom scientifique Achillée millefeuille, à la fois indigène et introduite, est probablement, encore aujourd’hui, la plante médicinale la plus connue au Québec.

Or, vient de paraître voilà trois jours à Paris un ouvrage capital sur Neandertal, disparu il y a 30 000 ans. Ce n’est pas négligeable, car si vous êtes d’origine occidentale, vous avez du Neandertal dans votre ADN. Lire la suite