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Articles de la catégorie ‘L’ineffable’

Étrangeté

La répétition rituelle, la routine quotidienne, étonnamment, peut permettre d’échapper au temps linéaire, au temps qui passe, de retrouver l’éternité. Dans la durée éphémère, se cache le temps éternel.

Écoutez, comment vous le cacher ?

Puisque vous êtes dans le coup depuis le départ. Et c’est bien d’abord de la faute de mon amour de fils si ce site internet — mon bonheur — existe. J’échange régulièrement avec lui des propos de toutes sortes. Je bénis tant les dieux qu’il soit là.

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Vous souvenez-vous du Cerceau ?

Dans son fossé, il a traversé toutes les situations depuis décembre dernier. Lire la suite

La maison, le refuge, le retrait, la protection

Dans ma bibliothèque de livres parfois étonnants, j’attrape d’Olivier Marc, Psychanalyse de la maison (Paris, Seuil, 1972). L’auteur ouvre son ouvrage avec une citation du livre Le Prophète, de Kahlil Gibran. Lire la suite

Miguasha, terre bénie pour retrouver nos ancêtres

Batraciens, reptiles, oiseaux, mammifères, donc nous-mêmes, nous sommes des tétrapodes, des bêtes à quatre membres. Et tous, nous venons des poissons. Or, nous cherchons le grand-père qui vivait dans l’eau et annonçait déjà ce que nous sommes. Lire la suite

Premier volume de ce site internet…

Pour vous dire que, si vous vous plaisez à la lecture des textes liés à ma vie dans ma campagne et mes êtres divers qui y habitent, ce site est le tome II de mon histoire en ce lieu. Lire la suite

Le sourire du bourgeon du lilas

Doutiez-vous vraiment quand je vous disais que les bourgeons du lilas aiment se faire parler doucement ? Bien plus, qu’ils sourient. Depuis quelques heures, les miens, maquillés, tirent même la langue et se sont donné un visage de clown. Lire la suite

Allez, modification d’un équilibre

jIl faut parfois admettre d’être déstabilisé, les livres de sagesse le disent. Les ornières sont habitude et vient un moment où plus rien ne prend place, sinon le ronron qui enferme, finit par asphyxier, tuer.

Vous connaissez Gaston Bachelard (1884-1962) ? Avec respect, courez-y pour votre santé. J’extrais des passages du livre de Jean-Claude Margolin, Bachelard, au Seuil, collection Écrivains de toujours, 1974. Lire la suite

Le Pays de nulle part a 38 ans aujourd’hui

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À nouveau se manifestent les mondes qui s’interpénètrent

Arrivera-t-on, un jour, à percer le voile de l’univers où les mondes s’interpénètrent, à ouvrir la porte de ce décor de carton-pâte ? Lire la suite