Le journaliste et écrivain français François Bott et ses aphorismes
Déjà, nous y sommes venus à quelques reprises. Retournons sur les lieux.
Lorsqu’ils accusent trop leur âge, certains visages sont des réquisitoires contre le temps.
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5 Mai
Déjà, nous y sommes venus à quelques reprises. Retournons sur les lieux.
Lorsqu’ils accusent trop leur âge, certains visages sont des réquisitoires contre le temps.
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Vous vous intéressez vraiment aux oiseaux, procurez-vous l’ouvrage de Jennifer Ackerman. Je vous en avais parlé le 6 février. Il y a tant d’infos nouvelles qu’à un moment donné, la journaliste scientifique doit ralentir le rythme, dirait-on, tant elle est heureuse.
Voici le genre de nouveauté, pour moi du moins, qu’elle nous donne à partager.
L’oiseau voyageur, le migrateur, doit se construire par l’apprentissage une ou quelques cartes mentales. Lire la suite
Un gardien de nuit dit avoir vu un météore au firmament, vendredi soir.
La Patrie (Montréal), 21 mars 1881.
L’illustration d’Alain et Colette Barre apparaît dans le livre de Gilbert Anscieau, Les quatre saisons, Paris, Presses d’Île de France 1953, 288 pages.
La Patrie (Montréal), édition du 14 mars 1908.
Il faut deviner où se cache le père Rhault.
Il faut sans doute en conclure que la paléontologie n’est guère développée. D’ailleurs, on les appelle dinosauriens et non dinosaures. Mais profitons de ce premier article, même court. Lire la suite
[Louis] Fréchette nous montre, dans ses « Originaux et Détraqués », un type du nom d’Aubin, qui ne peut dire deux phrases sans leur accoler des rimettes. Le conteur a peut-être chargé son sujet. C’est son droit. Lire la suite
Heureusement que nous n’avons pas les sentiments pessimistes du bonhomme Voltaire ni la maladie du paradoxe de l’infâme Rousseau. Un hiver sans neige ne serait pas un hiver pour nous, Canadiens. Oui, il nous faut de la neige et beaucoup de neige encore. Lire la suite
Henri Julien (1852-1908) fut un très grand dessinateur québécois. Il a travaillé comme illustrateur et caricaturiste dans plusieurs journaux de son temps, avant que la photographie ne s’impose. Il a peint également des personnages et des scènes de la vie quotidienne d’autrefois, encore imprégnées dans la tête de beaucoup de Québécois. Il est décédé, foudroyé rue Saint-Jacques à Montréal, le 17 septembre 1908. Lire la suite
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