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Articles de la catégorie ‘Le silence’

Pourquoi pas un autre chemin ?

J’ai toujours trouvé décevant que certains livres de sagesse affirment que, pour atteindre la Connaissance, il faille que cela se fasse dans l’adversité, voire même la douleur. Pourquoi ne point plutôt imaginer un chemin de joie ?

Voyez celui-ci : Lire la suite

Contribution à une histoire de la nuit au Québec

En 1903, on a trouvé dans les archives de la ville de Montréal un document intéressant.

D’abord, on donne le nom des allumeurs de réverbères et le nombre de fanaux dont ils sont responsables :

Jean Joseph Lampkin : 54

Joseph Sir : 54 Lire la suite

En 1900, les journaux québécois, quotidiens ou hebdos, échappent souvent de petits poèmes

Et cela, sans prévenir.

À l’occasion, ces textes sont franchement pompiers.

D’autres fois, on se retrouve absolument étonnés. Lire la suite

Vous entrez chez un bouquiniste, que faire ?

D’abord, c’est certain, il offre des livres qui ont connu d’autres mains que les vôtres. Les vendeurs de livres neufs n’aiment guère qu’on les qualifie de bouquinistes, pourquoi contester leur bonheur de vendeurs de livres neufs, appelons-les libraires.

Pour mon travail, pour la culture que je n’ai pas encore eu le temps d’acquérir, j’aime beaucoup les bouquinistes offrant des ouvrages à prix modestes, vivant moi-même humblement. Lire la suite

Un grand musicien poète

Le pianiste Alfred Brendel, né en Moravie en 1931, est aussi l’auteur de poèmes étonnants, « tendres, drôles ou sombres » dit le quatrième de couverture. Lire la suite

Voilà qu’une phrase de Blaise Pascal apparaît dans un hebdo joliettain à la fin du 19e siècle

Jamais n’aurais-je pensé qu’on retrouverait ce penseur dans la presse québécoise de ce temps. Voilà ce mot :

Les inventions des hommes vont en s’avançant de siècle en siècle; il en est de même pour la malice du monde.
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Incontestablement, certains des plus beaux textes sur le pays sont du grand Arthur Buies (1840-1901)

Arthur Buies, bien sûr

Ce journaliste à la fort belle plume aimait parcourir des régions moins connues du Québec. Il a traversé la Matapédia, a passé du temps dans Charlevoix. Le voici ici dans l’Outaouais supérieur, ému par l’immensité du Nord, terre pour des surhommes.

Vouloir peindre le Nord me semble demander un effort excessif, dont je me sens d’autant plus incapable que mes forces, lasses de s’être portées longtemps sur des objets divers, me secondent péniblement aujourd’hui que je leur fais appel pour une entreprise dont le succès ferait mon orgueil et ma gloire. Lire la suite

« L’école du village »

Napoléon Legendre, bien sûr

Il faudra bien un jour passer le râteau dans la production de nos premiers écrivains au Québec pour en extraire les textes trempés dans l’eau bénite et conserver les autres qui méritent de l’être pour la suite du monde.

En voici un exemple de l’écrivain Napoléon Legendre (1841-1907) tout à fait défendable encore aujourd’hui. Lire la suite

De Hogan Reikan (1779-1860)

À quoi rêvent-ils dans les fleurs

Les papillons

Muets Lire la suite

À mon marché d’alimentation

J’entre et fais face à une jeune caissière nouvellement arrivée, une brassée de paniers de plastique. Elle me fait signe de passer, mais je lui propose plutôt de poursuivre son travail, que j’attraperai un de ses paniers à mon passage. Lire la suite