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Articles de la catégorie ‘La tendresse’

Dans l’histoire du costume au Québec, il y aurait un long texte à écrire sur les chapeaux que portaient les dames québécoises en 1900

Au théâtre, on se plaint que leurs grands chapeaux empêchent les autres de bien voir la scène. Pour la sauvegarde des oiseaux, on mène campagne contre la présence de plumes sur leurs chapeaux. Ici, deux amies qui ne se sont pas vues depuis longtemps portent le Merry widow, un chapeau à larges, très larges bords. Brève histoire d’une soudaine rencontre. Lire la suite

Un jour, un quidam du nom de Théophile Dufour décide d’un hommage à l’enfant

Charles Emmanuel Talbot et son chien

Pourquoi ne pas confier ce texte au journal qu’il lit ?

J’ai vu quelquefois dans les champs le jeune enfant auprès du laboureur — fraîche fleur à côté d’un blé mûr ; l’enfant suit à petits pas le pénible sillon ; il s’arrête un moment. Lire la suite

Les histoires de perroquet fourmillent

En voici une nouvelle. Nous sommes à Philadelphie.

Quatre voleurs qui dévalisaient une maison près de la ligne du chemin de fer, à Philadelphie, ont été vendus par le caquetage d’un perroquet, et ont failli perdre la vie. Lire la suite

Vieillir doucement, et bientôt partir

Au printemps 2017, au Salon international du livre de Québec, j’ai eu la chance de rencontrer le grand écrivain tunisien Moncef Ghachem. Lire la suite

Parfois, consultant des guides d’identification d’oiseaux, on reste surpris

Recourant, par exemple, à la seconde partie de son Ornithologie du Canada (1861), on découvre qu’entre la Fauvette du Cap May et le Viréo à front jaune, James Macpherson LeMoine a glissé un texte sur Madame de Tracy.

Il s’agit de l’Anglaise Sarah Newton (1789-1850), épouse en premières noces du général Letort, aide de camp de Napoléon tué à Charleroi en 1815, puis en secondes noces de Victor Destutt de Tracy. LeMoine écrit : Lire la suite

La tendresse, ou la beauté, crie malgré le grand froid et la neige

Ou peut-être simplement la discrétion, la douceur.

Un biologiste nous parle

Humain, tout est dans la manière de s’exprimer qui nous plaît. Une coiffeuse ne décrira pas l’Univers de la même façon qu’une maraîchère. Les couleurs que nous donnons au réel diffèrent.

Dans son ouvrage Une Nuit, l’astrophysicien Trinh Xuan Thuan décrit avec une quasi tendresse l’Univers le plus lointain que nous ne verrons jamais puisqu’il est en expansion, et que nous sommes nous-mêmes car le matériau qui nous constitue est le même. Lire la suite

Connaissez-vous « Rondeur des jours » de l’écrivain français Jean Giono ?

Il y a plein de tendresse dans ce livre, et des surprises magnifiques. Voici un  de ces passages.

Les enfants sortent de là [d’une école primaire communale à l’usage des fermes] en se tenant la main, et ils partent seuls sur le plateau pour des quatre ou cinq kilomètres dans cette lumière de fin du monde qui tombe du ciel au crépuscule. Alors, la femme, toute pâle, s’avance des enfants. Elle ne dit rien. Elle n’a besoin de rien dire, elle regarde les enfants avec ses beaux yeux.
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Rêvez-vous d’un recueil poétique émouvant, plein de tendresse ?

Mettez la main sur celui-ci, de Francis Jammes (1868-1938). Vous verrez, ce ne sont pas les bruits d’aujourd’hui. On verse plutôt dans la paix. Lire la suite

Impatience ou tendresse ?