On demande des charretiers
Vous vous souvenez de cette tempête, la plus importante de l’hiver en 1905. Le déneigement va bien à Montréal, mais on a besoin de charretiers pour enlever toute cette neige le long des rues.
Le travail de déblaiement de nos rues avance rapidement. Hier après-midi, le département des chemins a cru devoir se dispenser de 200 hommes. Il en reste environ 600.
Ce sont les charretiers surtout qui font défaut dans le moment. On en a actuellement 700, et il en faudrait davantage, mais on a toutes les peines du monde à en trouver.
Avis à ceux qui ont des voitures.
La Patrie, 10 janvier 1905.
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