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Bonne Fête nationale, chère Acadienne, cher Acadien !

Fêtez cela ! Il y a des gens dans ma rue à Québec originaires directement ou indirectement de l’Acadie. Je vais m’informer pour voir s’il y a une petite fête.

Voici ma chère grand-mère paternelle, Rose Breault, Acadienne. Je ne l’ai point connue, mon père aussi, qui n’avait que deux ans et demi à son décès à 35 ans de fièvres puerpérales à l’accouchement de son dixième enfant.

Je la trouve fort belle.

Le 15 août.

La fête des papillons !

Grâce au dépôt temporaire de la cage à raton dans l’herbe, les papillons sont heureux.

Tiens, le Croissant nordique maintenant dans le pain.

J’ai déposé dans l’herbe la cage à raton, avant de la remettre sur la galerie avant, et quatre Croissants nordiques se sont amusé à entrer et sortir par le grillage.

Ce n’est vraiment pas une prison pour eux.

Hier, il y avait une fleur d’hémérocalle.

C’est en parlant à ce raton, et en miaulant, que j’ai réussi à le faire bouger. Je savais que le miaulement a son effet.

Mais ce raton est demeuré complètement silencieux. Autant sur la galerie qu’en voyage. Je pense qu’il avait déjà été piégé avec une cage semblable.

Le septième Raton laveur était costaud. Quand je suis arrivé, il a tourné légèrement la tête, puis a continué à dormir.

Âgé, il agissait en philosophe. « Ou je vais m’en sortir, pensait-il, ou je vais y mourir. »

Ah, voilà la Piéride des crucifères !

« À la mi-août… »