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Les oiseaux endurent le temps qu’il fait. Il importe pour eux de manger.

Et cette paruline est en train de développer un capuchon quelconque.

Est-ce bien la Paruline à joues grises jeune ?

Le geai, très heureux, sur la mangeoire de suif.

Le Colibri mâle s’abreuve.

La beauté de la fleur de l’«herbe-à-feu», de l’Épilobe à feuilles étroites.

Elle dure jusqu’à la fin d’août.

Voici le Croissant nordique (Phyciodes cocyta). En ce moment, ils sont cinq ou six de son groupe ici.

L’entomologiste Louis Handfield (Les papillons du Québec, Broquet, 2011, p. 177) affirme qu’il est très commun dans ma région, qu’il se rencontre partout sauf dans les forêts très denses, et qu’il préfère généralement les endroits humides et ouverts. « Se trouve aussi dans les champs, le long des routes, les lieux ouverts, prairies herbeuses et tourbières, etc. »

O la la ! L’effet de la mue et des pluies abondantes.

La tourterelle à des doigts plus longs que ceux de sa voisine.

La Roselin pourprée se laisse photographier de très près sans aucune crainte.