Skip to content

Archive pour

Après la grande pluie, on s’assèche.

Le 11 août.

Le Viréo aux yeux rouges. Petit et souvent caché, il n’est pas facile à apercevoir.

Lorsqu’il arrive du sud — la dernière semaine de mai ou la première de juin — il révise son examen de calcul. « Deux et deux font quatre. » « Trois et trois font six. » « Dix et dix font vingt. » Etc. C’est mon ami Pierre Morency, poète et écrivain, qui m’a appris à le reconnaître ainsi. Et cela dure quelques semaines. On ne trouve pas nécessairement l’oiseau, mais on sait que c’est bien lui, ce mathématicien, que l’on entend.

Voilà que les Croissants fauves s’accouplent.

La vie n’est pas facile pour les papillons, cette année. Ils doivent défier le temps qu’il fait, s’accrocher à chaque moment où il fait beau.

Le Morio.

Lui est connu internationalement.

Un Roselin pourpré aime bien manger des framboises.

Voilà un des deux Merles d’Amérique. Ils sont présents, mais fort discrets.

La Piéride des crucifères qui aime l’aster mauve.

Celle-ci est la Piéride des crucifères. Pleinement présente depuis le printemps. Elle est d’Amérique du Nord.

Depuis le printemps, c’est ce papillon, autochtone, qui est le plus présent. Il faut protéger ce papillon, éviter les pesticides.

Voici la Piéride du chou, arrivée d’Europe durant les années 1850.