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Hier après-midi, à ma grande surprise, alors que je suis assis sur le bord de la galerie avant à manger des arachides et à regarder mes deux corneilles manger du pain, ce papillon arrive et se pose sur ma main.

C’est le Polygone gris. Il est resté 7 ou 8 minutes certainement. Et il aimait bien le poignet de mon coupe-vent. Régulièrement, il déroulait sa trompe sur ma main. Il aimait bien le parfum de ma main.

Nous sommes de ce monde. Cessons de chercher ailleurs. Nous appartenons à ce monde. Il en fait la preuve.

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