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14 Mai
Encore des problèmes avec un raton laveur.
Et je vous en prie, ne vous réjouissez pas. Un raton, c’est un paquet de troubles.
Il a démoli une partie du mur à l’étage, à l’avant. Il n’y a vraiment rien de drôle !
Un Colibri à gorge rubis mâle est venu à l’abreuvoir à l’avant, hier, puis est reparti sans que je puisse le photographier.
Attention ! Celui-ci est le premier de l’an passé, le 13 mai, et non celui d’hier.
Pour les premières mentions printanières du Colibri à gorge rubis, invariablement des mâles, voir ce billet.
Et voici le Cardinal à poitrine rose femelle, qui, hier, accompagne donc le mâle.
Le Cardinal à poitrine rose, mâle et femelle, hiverne dans le Sud, du Mexique à l’Équateur. À notre hauteur, il préfère les forêts de feuillus, entre autres les érablières, plutôt que les Sapinières à bouleau blanc. On le retrouve dans les Laurentides méridionales, les Basses-terres du Saint-Laurent et les Appalaches. Référence à l’atlas de 2019 : Daniel Toussaint, « Cardinal à poitrine rose », p. 584, dans Deuxième atlas des oiseaux nicheurs du Québec méridional (M. Robert, M.-H. Hachey, D. Lepage et A. R. Couturier, dir.) Regroupement QuébecOiseaux, Service canadien de la faune (Environnement et changement climatique Canada), et Études d’oiseaux Canada, Montréal, 2019.
14 Mai
Voici le Cardinal à poitrine rose mâle (Pheucticus ludovicianus, Rose-breasted grosbeak)
Chez moi, il s’agit beaucoup d’un oiseau de mai.
Voici des dates d’arrivée en mai :
1985 : 21 mai
1988 : 15 mai
1990 : 16 mai
1992 : 21 mai
1993 : 15 mai
1995 : 27 mai
1996 : 17 mai
2001 : 20 mai
2003 ; 14 mai
2004 : 12 mai
2005 : 16 mai
2006 : 24 mai
2007 : 16 mai
2008 : 24 mai
2009 : 24 mai
2016 : 17 mai (le couple)
2020 : 11 mai
2023 : 13 mai (le couple)
C’est un oiseau assez rare. Aperçu seulement en 46 occasions.
Pour en connaître davantage à son sujet, voir ce billet.
Le Bourdon fébrile (Bombus impatiens, Common Eastern bomblebee) fait la tournée des fleurs de prunier.
Et on voit qu’il a une corbeille à pollen, ce qui annonce du nectar.
Dans cette photographie, on voit bien, à droite, la différence entre la Roselin pouprée femelle et le Tarin des pins.
La taille de la femelle est plus imposante que celle du tarin.