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Archive pour

Un tremblement de terre en Montérégie

Il est rare qu’on signale un tremblement de terre dans cette région du Québec. Lire la suite

Du quotidien L’Électeur à Québec, édition du 19 avril 1895

Juliette à la porte de la galerie arrière

Le père de l’éthologie

Jacob von Uexküll (1864-1944), biologiste, zoologiste et philosophe, maître de Konrad Lorenz, est le premier à avoir ouvert une grande réflexion sur les compréhensions du monde entre les vivants.

Il devait lancer la démarche grâce à son concept d’Umwelt, selon lequel chaque espèce vivante a son univers propre, auquel elle donne sens et qui lui impose ses déterminations. Il publiera son ouvrage majeur en 1934, appelé alors Mondes animaux et monde humain, portant aujourd’hui le titre de Milieu animal et milieu humain. Extraits. Lire la suite

Parfois, on croirait que c’était à peine hier…

Nous sommes à Québec.

Nous avons depuis une huitaine la température la plus maussade. Lire la suite

Éclairs et tonnerre dans la nuit à Montréal

Vendredi soir, Montréal a été tenue en éveil deux heures durant les éclairs qui sillonnaient les nues de leurs traits enflammés et par les formidables roulements du tonnerre qui ébranlaient les espaces.

L’atmosphère était pesante et lourde. De temps en temps, comme les cataractes du ciel se fussent ouvertes, des torrents de pluie inondaient les rues.

La pluie a tombé jusqu’à six heures du matin. Lire la suite

À nouveau, à cause de la lune cette fois-ci, certains crient à la fin du monde

J’aime bien le journaliste scientifique Henri de Parville (1838-1909). Il fut en son temps fort nécessaire pour contester ceux qui y allaient de faussetés.

En 1894, la rumeur court que nous arrivons maintenant à la fin du monde, car la lune va masquer la constellation de l’épi de la Vierge. De Parville prend la parole. Lire la suite

Un spectacle de chevaux savants, rue Saint-Denis, à Québec

On peut être sûr qu’il y aura foule à l’Académie de musique. Le professeur Bristol y fera l’exhibition de ses chevaux instruits. Lire la suite

« Le langage des gants »

Il nous vient d’Angleterre ; les pudiques misses l’ont inventé pour pouvoir correspondre impunément avec leurs amoureux. Un « oui » se dit en laissant tomber un de ses gants. On les roule dans la main droite pour dire « non ».

Si l’on veut faire entendre que l’on est devenue indifférente, on dégante à demi la main gauche. Lire la suite

Comparons le même paysage

2019

 

Celui d’aujourd’hui, le 16 avril 2019. Puis celui du 16 avril 2014. Enfin celui du 16 avril 2011. Lire la suite