Un printemps à l’arrivée prudente
Tout se passe calmement par jour de grand vent froid. Maximum de 5 sous zéro. Les Sizerins flammés sont une quarantaine. La corneille est maintenant la seule des oiseaux noirs. Carouge à épaulettes, Étourneau sansonnet et Quiscale bronzé sont disparus. Ils étaient donc en migration, faisant simplement une escale. Les résidents sont toujours là, mais la Mésange à tête noire est moins active.
Au village, on me dit que les érables ne coulent pas encore.
Tout de même, voilà deux signes annonciateurs du printemps. En bordure de la route, une vingtaine de Bruants des neiges s’envolent au passage de l’auto. Un peu plus loin, trois ou quatre Alouettes cornues font de même.
Et le Tamia rayé sera heureux à la sortie de son terrier.